Digital : la bonne idée du jour est un éloge au retard !
Nous entamons une série de bonnes idées du jour grâce à Dominique Turcq qui publie, chez Eyrolles, Eloge du retard de l’entreprise.
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Voir la bio de Dominique Turcq
Quelle est la bonne idée du jour ?
Dans cette interview qu’il nous a accordée, Dominique Turcq, développe l’idée-phare de son livre : « Votre entreprise est en retard pour tout ce qui concerne le digital et l’internet. Est-ce vraiment très grave ? Non. Toutes les entreprises sont en retard. Et tant mieux ! »
Oui, déjà la vie des affaires va très vite. La concurrence, désormais mondialisée, l’innovation de plus en plus rapide, imposent une vitesse de plus en plus rapide dans les changements. Avec la basculement dans l’univers digital, les entreprises sont forcément en retard quelque part. Tout va trop vite.
Et vous, cette idée du jour vous rappelle-t-elle aussi des expériences (bonnes ou mauvaises), vous donnant le sentiment que votre entreprise était en retard ?
Peut-être avez-vous également une expérience, voire une étude du cas d’une entreprise qui était en retard du côté digital en général, qui s’est réveillée et a pris brutalement un très grande avance dans un domaine particulier du digital.
Une bonne idée par jour : le régime qui fait du bien
Dans la même logique que la bonne idée d’hier qui nous était donnée par la compagnie aérienne Kulula, je me suis souvenu d’une bonne idée qui m’avait fait éclater de rire dans les années 80 et qui reste d’actualité pour le content-marketing.
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Quelle est la bonne idée ?
L’ idée de cette petite entreprise était franchement géniale. Elle était spécialisée dans la production de spots radio et de musiques pour films de publicité. Une activité très technique, où l’on passe beaucoup d’heures dans les studios, où l’on doit savoir faire « nocturne » bien souvent. Une activité qui toutefois doit impérativement s’exercer dans la bonne humeur et le bon humour.
Les contenus sonores : ne jamais les oublier !
Avouez que c’est excellent !
Bien sûr, on est là dans la communication plus que dans le marketing de contenu au sens strict (voir ici ce qu’est le marketing de contenu)
C’étaient les années 80, internet n’était pas né.
Mais alors justement ! Et si on se souvenait des bonnes idées de ces années-là ? Et si l’on songeait à exporter ce type de réflexe à l’ère du marketing de contenu ?
Cette bonne idée de Bamboula nous invite à réfléchir sur toutes les possibilités que nous offre le standard téléphonique.
Le téléphone est un support très efficace. Une grande partie des relations avec vos clients passent par là. C’est un vecteur idéal pour installer ou entretenir une relation de confiance.
Inviter à aller télécharger le dernier e-book produit par l’entreprise ou à aller visionner la dernière vidéo sur le site.
Faire écouter pour patienter la radio de l’entreprise, une radio diffusant de véritables émissions utiles pour les clients et pas seulement les dernières pubs (ce qui incitera le client à aller écouter la fin de l’émission sur le site de l’entreprise puisqu’il sera forcément interrompu dans son écoute par l’arrivée de l’interlocuteur qu’il a demandé).
Faire participer via des sondages « taper 1; taper 2 » à différents choix sur lesquels l’entreprise hésite sur ses contenus (« vous préférez que notre logo dans sa version verte ou dans sa version rouge ? »), etc.
Le son est le vecteur le plus fort pour communiquer. Un film repose à 50%, voire plus, sur sa bande son.
La radio est le média le plus « chaud », au sens où il est celui qui appelle le plus à l’imagination de l’auditeur.
Les contenus sonores apportent une dimension supplémentaire.
Il ne faut jamais les oublier.
Et vous, cette idée du jour vous rappelle-t-elle aussi des expériences (bonnes ou mauvaises) avec les standards téléphoniques ?
Une bonne idée par jour : le régime qui fait du bien
Nous devons l’idée du jour à la compagnie aérienne sud-africaine Kulula.
Quelle est la bonne idée pour rendre captivant un contenu a priori ennuyeux ?
La bonne idée de Kulula n’est peut-être pas vraiment une idée de la direction générale de la compagnie.
C’est cependant une idée qui a eu un efficacité impressionnante.
Plus de 510 000 vues sur youtube:
L’effet « buzz » de cette vidéo, visiblement capturée par un voyageur, client de la compagnie aérienne, est considérable : plus de 510 000 vues de la vidéo sur youtube.
Ce n’est pas les 2 milliards de vues de Psy qui ont dépassé les limites de Youtube, mais ce n’est quand même pas mal !
Les commentaires sont également intéressants. On y voit à quel point l’impact de cette vidéo est positif : les internautes semblent très favorables à la lecture de la vidéo. A l’heure où nous écrivons ces lignes, il y a 1951 commentaires favorables, et 53 défavorables. Un rapport très net.
Ce que nous apprend cette bonne idée:
Ce qu’il y a d’intéressant avec cette bonne idée, c’est qu’elle nous donne une bonne façon de capter l’attention d’un public qui , a priori n’a pas envie d’écouter, et de lui faire entendre ce qu’il n’écoute pas. Pourquoi ne l’écoute-t-il pas d’ailleurs ? Parce qu’il l’a déjà trop entendu ?
Je ne pense pas. Il n’écoute pas, parce que c’est un contenu relatif à la sécurité. Un sujet qui évoque quelque chose de dramatique : que se passe-t-il si l’avion est en difficulté ? Typiquement, ce dont vous n’avez pas envie d’entendre parler avant que l’avion décolle.
C’est la même chose que le fait de mettre sa ceinture de sécurité en voiture : il a fallu trente ans de spots de pub et de communication pour que les gens s’y mettent. Normal: ils refusaient d’obéir, parce que le fait même d’en parler revenait à imaginer qu’ils pouvaient avoir un accident. Rien de captivant là-dedans.
Ici, en faisant un sketch de cette présentation des consignes de sécurité, Kulula (ou le chef de cabine inspiré qui a eu l’idée pour Kulula) transforme un pensum en occasion de détendre l’atmosphère. Du coup, tout le monde écoute… et retient.
N’y a-t-il pas quelque chose dont on pourrait s’inspirer ici pour rendre plus captivants les consignes de sécurité diverses et variées que l’on voit un peu partout dans nos entreprises ?
N’y a-t-il pas, par exemple, une idée à creuser ici pour rendre plus captivants également les modes d’emplois des appareils électroménagers ou électroniques ?
Regardez ici : nous nous en sommes inspirés pour nos mentions légales. Vous savez la page de contenu obligatoire qui d’habitude est particulièrement ennuyeuse sur un site internet.
Une bonne idée par jour : le régime qui fait du bien
Nous devons l’idée du jour à Copyblogger . Vous êtes en pleine création de contenu, assis devant votre café, à votre bureau, et vous vous demandez comment attirer plus de lecteurs pour votre blog, plus de futurs clients…
Quelle est la bonne idée ?
Dans cet article (celui que vous lirez en cliquant sur le lien ci-dessus, l’auteur pose une excellente question : « Who is your one fan ? »
En attendant, voici la traduction partielle :
Vous pourriez avoir comme objectif de gagner 100, 1000 ou même 10 000 lecteurs à votre blog.
Mais quand vous pensez à un grand nombre de lecteurs, vous transformez les gens en une foule sans visage. Et quand vous écrivez pour une foule sans visage, votre écriture devient sans couleur, ennuyeuse.
Vous pensez vraiment que Stephen King se concentre sur des millions de lecteurs quand il écrit ses best-sellers ? Quand il se consacre à la création de contenu ?
Dans son livre sur l’art d’écrire, King nous explique qu’il écrit pour une seul lecteur seulement : sa femme. Quand il écrit, il ne se demande pas si ses millions de fans vont apprécier son nouveau livre. Il se demande juste : « Qu’est-ce que Tabitha va penser de ce chapitre ? »
Quand vous écrivez pour un seul lecteur, votre blog devient plus engageant, personnel, persuasif. Vous obtiendrez plus de commentaires et de « shares », qui vous aideront à trouver des idées pour de nouveaux posts.
Alors, connaissez-vous votre vrai « fan »?
Pouvez-vous imaginer décrocher votre téléphone, partager une plaisanterie, et lui demander son avis sur votre dernier post ?
Votre lecteur idéal, votre « vrai fan » peut être une personne imaginaire, votre client préféré ou un mélange de différentes personnes que vous connaissez.
Pour visualiser votre « vrai fan », allez au-delà des critères démographiques, comprenez ses rêves, ses combats. Entrez en empathie avec lui, inspirez-le.
Création de contenu : dessinez le portrait-robot de vos clients
Pour mieux travailler sur ce type d’exercice, pensez à la méthode des buyer personae. Elle vous permet de procéder ensuite à la création de contenu en adaptant ce contenu à chaque type de prospect et de client auquel vous vous adressez.
Une bonne idée par jour : le régime qui fait du bien
[dropcap]N[/dropcap]ous devons l’idée du jour à Candy Vicente, directrice de Phi Conseil, une entreprise qui fait du conseil aux entreprises, installée en Provence.
Que nous apprend cette bonne idée en matière de stratégie de contenu ?
C’est une idée de positionnement. Vous savez cette toute première étape (qui est aussi l’étape la plus difficile) dans le lancement d’un produit ou d’une activité : choisir les quelques mots qui vont résumer d’un trait votre activité et surtout votre façon particulière de l’exercer. Ce positionnement, Candy Vicente a réussi à le résumer en un seul mot ! Quel est ce mot ? Quelle est la BONNE IDEE de ce jour ? Comment Candy Vicente a trouvé LE TRUC QUI PARLE dans cet univers du conseil qui cumule contre lui tous les inconvénients possibles et imaginables en matière de communication : un monde abstrait, rigoureux, plein de chiffres, de concepts juridiques, administratifs ? Comment Candy Vicente a trouvé le moyen d’être elle-même son meilleur support de communication ? Découvrez ceci dans cette vidéo Dans vos commentaires, je vous invite à répondre tout particulièrement à deux questions : 1. Que vous évoque spontanément le souvenir de votre « nounou » à vous ? 2. Candy Vicente propose la garantie « Zéro moment de solitude » : que pensez-vous de cette formulation pour une activité de conseil? Pour contacter Candy Vicente, cliquez ici : www.phi-conseil.com
Ceci est la traduction de l’interview de David Edelman, consultant chez Mac Kinsey, au bureau de Boston et y co-dirige le groupe dédié aux stratégies digital.
Elle est publiée dans un récent post sur le site du géant américain du consulting, sous la forme d’une vidéo.
Pour aller plus vite, voici la traduction des points clés.
« La plupart des entreprises raisonnent en termes de « campagnes ». Il s’agit de capter l’attention de leur marché pour promouvoir quelque chose, et ce, de façon périodique : trimestre, mois, semaine… En réalité, en faisant cela, vous ne faites que mettre en avant un seul produit pour les seuls consommateurs pour qui ce produit présente un intérêt.
Pourtant la plupart des entreprises vendent des tas de produits différents à des tas de gens différents. Ce que le marketing digital vous permet de faire désormais est de vous adresser à chacun d’eux pour dire : « Nous avons quelque chose à vous offrir qui colle précisément avec votre besoin ».
Un modèle marketing différent : le marketing digital
Ce que le digital vous permet, c’est d’avoir quelque chose pour chacun et d’utiliser les données que vous avez sur cette personne à un moment donné -en raison du terme précis qu’il a indiqué sur les moteurs de recherche ou de la page sur laquelle il arrive sur votre site ou de ses échanges passés avec votre marque – pour lui proposer quelque chose de précis. Cela suppose d’avoir quelque chose pour chacune de ces situations et de créer le contenu et l’offre nécessaires. Ainsi, au lieu d’avoir 2 ou 10 produits à mettre en avant, cela signifie que si vous avez 100 produits et 100 différents contenus, cela fait 10 000 variantes de votre offre.
Le marketing digital est donc un modèle très différent de marketing que celui qui consiste à dire « OK, alors que sera notre nouvelle campagne? Que doit-on promouvoir ? Travaillons avec l’agence. Voyons éventuellement les créatifs. Et organisons des focus groupes de consommateurs pour voir ce qu’il faut mettre en avant. »
Le marketing digital est beaucoup plus rapide. Il est plus complexe. C’est comme le développement agile dans l’industrie du logiciel, où vous avancez de façon itérative. Il faut appliquer cette même méthode au marketing.
Ce que les entreprises ratent
Parmi les défis qui se présentent aux entreprises, le premier est le rêve d’avoir une base de données consommateurs totalement intégrée. C’est un rêve qui risque de prendre des années à réaliser, et ce sera très difficile. A peine y arriverez-vous que quelque chose bougera à nouveau. N’attendez pas après cela, ce serait comme attendre Godot !
Au lieu de cela, mieux vaut se demander, pour un nombre limité de produits qui vont avoir le plus de valeur, de quelles données on a besoin et comment les analyser.
Le deuxième défi est celui des obstacles organisationnels pour que les gens travaillent ensemble. Les chemins des consommateurs sont très différents : il vont aller sur votre site mobile, puis sur leur ordinateur, puis parler à quelqu’un au téléphone, puis aller dans un magasin. Vous devez être capable d’appréhender cela dans sa totalité et accepter que chacun de ces canaux a un rôle différent.
La dernière partie est d’accepter d’apprendre, en testant. Quand je pense à la quantité d’entreprises où j’ai entendu dire « Nous n’avons pas le budget pour tester plusieurs « landing pages » web » ! […]
L’une des meilleures façons de faire est d’avoir des pilotes de marketing digital à petite échelle. Prenez une zone géographique réduite, un segment de consommateurs spécifique, quelques produits, une base réduite et commencez à tester et à apprendre à l’intérieur de cela. Identifiez les défis. Ce que sont les process, ce contre quoi vous devrez vous battre. Quelles données vous manquent.
Ce qu’elles devraient faire
Quand nous travaillons avec les clients, il est intéressant de voir à quel point ils ont tendance à se focaliser sur les grands outils et les développements d’algorithme à grande échelle, quand le plus important concerne des décisions pointues, des sujets d’organisation et des révisions de process.
Il faut être impitoyable dans l’art d’établir des priorités. De quelles données avons-nous vraiment besoin ? Puis, pour ce qui est de la conception, prenons les bonnes personnes avec les bons incentives afin qu’elles travaillent ensemble avec des objectifs communs et un bon leadership derrière elle. Et, là, en travaillant dans un cycle rapide « tester et apprendre », il faut accepter le fait que vous serez désormais constamment en train de tester.
Ces trois choses ( « prioriser » les données, choisir les bonnes personnes issues de fonctions différentes pour travailler ensemble et organiser des cycles rapides « tester et apprendre » ) sont vraiment l’essentiel. Si vous pouvez construire ces muscles-là, vous pourrez appliquer cela à tous les sujets digitaux qui viendront vous perturber. Car il y aura désormais toujours du nouveau en matière numérique.
Certes, vous aurez toujours besoin d’avoir la bonne technologie de base et d’avoir les capacités de traiter les données dans différents circuits. Je ne minimise pas le défi technologique. Pour beaucoup d’entreprises, il y a un vrai besoin de prendre des décisions à gros enjeux sur leurs choix technologiques, qu’il s’agisse de collecter les données, les analyser, de construire leurs modèles, leur management de contenu, la façon de l’apporter au marché, puis de mesurer et d’optimiser.
Et pour beaucoup d’entreprises, il y aura des ruptures : les systèmes ne sont pas ouverts. Ils sont bloqués dans de vieilles technologies. Donc il y a des choses à faire en la matière, mais il faut que cela émerge en fonction de ce que vous voulez faire du point de vue de la relation avec le consommateur.
Les défis des dirigeants seniors
Je travaille avec de nombreux dirigeants seniors dans différents secteurs, à les aider à trouver leur chemin à travers différentes transformations digitales, autant d’un point de vue fonctionnel pour un directeur marketing que d’un point de vue de direction générale. Et il y a vraiment certains schémas de pensées que les dirigeants seniors doivent absolument remettre à zéro.
La première chose est de reconnaître que le digital n’est pas juste « un truc en plus ». Ce n’est pas un canal de vente supplémentaire. C’est quelque chose de différent. Cela change la façon d’agir, parce que cela consiste à utiliser des données, que cela va plus vite, qu’il y a plus d’interactivité avec des consommateurs plus engagés. Et cela change un grande nombre de choses qui vont se passer aux niveaux hiérarchiques en-dessous de ceux de ces dirigeants.
Donc, l’une des principales choses que devraient faire ces dirigeants seniors, c’est de sortir et de regarder ce que les gens font le plus souvent. Sortir des agendas internes et des activités de bureau et regarder comment les gens utilisent facebook dans un magasin pour demander à leurs amis si tel ou tel produit est bon ou pas.
La seconde chose est de regarder l’équipe et de faire en sorte qu’ils apprennent à travailler de façon multidisciplinaire pour régler les problèmes. Vous devez vous demandez, si vous êtes un dirigeant senior: « Qu’est-ce qui empêche mes équipes produits ou mes équipes distribution de travailler ensemble et que puis-je faire pour qu’elles travaillent à régler les problèmes de façon plus intégrée ? ».
La troisième chose est de demander plus aux données que vous avez et de reconnaître à quel point les données vont devenir essentielles aux prises de décision, notamment dans ce qui concerne la valeur ajoutée des services, les moteurs de recommandation, par exemple. Il ne s’agit pas seulement de dire « quelle est notre stratégie produits » ou « quelle est notre stratégie d’expérience consommateur ». Il faut se demander aussi « quelle est notre stratégie de données ? Comment acquérir plus d’information sur nos clients ? Et comment allons-nous amener nos consommateurs à faire plus de business avec nous ? »
Les informations et les données vont devenir un facteur-clé de compétitivité, et il est important de braquer les projecteurs sur cette question « comment votre organisation va collecter les meilleures données ». C’est là-dessus que se fera la compétition. C’est une perspective différente que de nombreux cadres seniors doivent apprendre à adopter chaque jour.
NDLR : la bonne approche sur le marketing digital ? Regardez nos vidéos sur la différence entre le marketing classique et le marketing digital.
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