Faire un blog, c’est comme avoir 10 vendeurs qui possèdent chacun une qualité exceptionnelle !
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui sait trouver les mots pour séduire les clients,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui connaît déjà tous les cas de figure possibles chez eux,
- Oui ,faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui sait attirer quantité de nouveaux prospects,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui sait toujours répondre sans erreur aux questions,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui travaille 7 jours sur 7, 24 heures sur 24, y compris les jours fériés,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui ne prend jamais de vacances,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui revient au final beaucoup moins cher que le smic,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui n’a pas besoin d’incentives pour rester motivé,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui ne passera jamais à la concurrence,
- Oui, faire un blog, c’est comme avoir un vendeur qui sait fidéliser les clients.
10 qualités exceptionnelles réunies dans un seul et même outil ?
Cela fait rêver, non ?
Sauf que l’on n’est pas dans l’ordre du rêve, mais de la réalité…
Les statistiques le prouvent :
– 57% des entreprises qui déclarent faire un blog … indiquent également trouver régulièrement des clients grâce à lui,
– pour être plus précis : c’est le cas de 43% de celles qui y ajoutent un article une fois par mois ou un peu moins
– et de 92% de celles qui y écrivent plus d’un article par jour !
(étude hubspot réalisée aux USA et datant déjà de 2012 : les chiffres ont dû encore augmenter depuis).
En clair, en étant actif sur son blog, on est sûr à quasiment 100% de trouver des clients en plus !
C’est statistique !
Un blog agit donc bien comme une force de vente complémentaire !
Oui, mais attention : il y a une condition sine qua non.
Cette condition c’est de bien comprendre ce qu’est un blog d’entreprise (ce que n’ont sans doute pas compris les 8% qui ne parviennent pas à vendre plus avec leur blog) .
S’il est conçu comme un cahier intime des états d’âme du patron ou, pire, comme un copieur-colleur des articles libres de droit de la presse en ligne de votre secteur professionnel dans le seul but de produire de l’enrobage de mots-clés afin d’être mieux référencé sur Google, là vous allez avoir l’impression non pas d’avoir recruté des vendeurs … mais des boulets en plus !
Dans ces deux cas-là, faire un blog revient en effet à se fabriquer une cruelle déception : “ça ne marche pas, je n’ai pas de trafic avec mon blog ou mon site”, direz-vous d’ici à dix huit mois, et ce, dans le meilleur des cas ! Celui où votre présence en ligne ne sert à rien.
Dans le pire des cas, le plus probable, vous direz : “Je ne comprends pas, j’ai de plus en plus de trafic, mais je ne le convertis pas en clients !”
Dans ce cas-là, celui qui fait vraiment mal, vous aurez investi temps et argent pour faire venir des gens et finalement ces gens qui viendront effectivement s’intéressent vaguement à votre sujet mais ne s’intéressent pas forcément à ce que vous leur dites, vous !
Un peu comme si vous aviez investi dans une superbe boutique de manteaux de fourrure installée dans un endroit où les gens s’intéressent beaucoup aux animaux (et donc s’approchent de votre vitrine) mais où il ne fait jamais moins de 30°C à l’ombre (et donc n’entrent jamais dans le magasin car… ils n’ont pas besoin de fourrure) !
Vous aurez construit votre business sur un malentendu !
Certes cette situation est peu probable dans le monde réel des boutiques et des vraies vitrines, mais sur internet, elle est pourtant très répandue.
Hélas, dans le même temps, vos concurrents qui auront eux compris comment on doit faire un blog auront pris de l’avance. Ils auront su construire un excellent entonnoir de vente et un système de mise en confiance parfait, en concevant leur blog comme une machine à vendre, pleine d’articles et de ressources captivantes.
Pourquoi un blog agit-il comme un vendeur ?
Mettez-vous à la place de votre futur client. Au début, au tout début, ce n’est pas du tout un client, même pas un prospect, vous ne le connaissez pas. Les américains disent que c’est un … suspect (on le suspecte de pouvoir s’intéresser à votre sujet !).
Son premier problème, au tout début, est donc de trouver les mots.
Oui ! Lui aussi, il a une sorte d’angoisse de la page blanche. Ou plutôt une hésitation devant la blancheur du formulaire google.
Il va donc tester plusieurs expressions ou mots-clés sur le formulaire Google…
Jusqu’à ce que les premiers résultats le satisfassent. A quoi le jugera-t-il ?
En fonction des petits textes (les méta-descriptions en langage technique, tels que celui ci-contre) qu’il va trouver sur Google, telle que celui ci-contre : ces petits textes qui auront été écrits par vous… (ou vos concurrents) et qui contiendront l’expression exacte qu’il a saisie.
Ce sont ces textes-là, un par page de votre blog, qui vont provoquer la première mise en confiance de votre “suspect” qui, du coup, va se transformer beaucoup plus vite en prospect.