Growthhaking : qu’est-ce que c’est
Rappelons que l’on qualifie de growthhacking une façon particulière de mettre en oeuvre le webmarketing. Elle est totalement orientée sur la croissance rapide et consiste à mettre en oeuvre toutes les techniques du webmarketing, de façon très cohérente, rapide et efficace, en travaillant avec pour seul objectif la croissance. Elle s’oppose à la vision traditionnelle du webmarketing, compartimentée, avec les développeurs d’un côté, les marketeurs de l’autre et les communicants dans un autre coin.
Avec le growthhacking, rien de tout cela : l’organisation suit les urgences, les objectifs de croissance. Le growthhacker doit donc savoir un peu tout faire (notamment coder) et travaille dans un ordre logique : il segment, teste, analyse les données, choisit le meilleur scénario, conçoit, met en oeuvre et passe à l’opération suivante…
Les compétences du growth hacker
Le growthhacker idéal doit donc avoir de multiples talents et s’obséder des ventes. Il maîtrise quantité d’outils, est aussi à l’aise dans les théories marketing que sur Google Analytics qu’il connaît par coeur, que dans le php ou le javascript et la lecture de code html.
C’est donc un profil de bon analyste marketing totalement geek, pour caricaturer. Pas si courant !
Spécial salaire des cadres
D’où l’intérêt de cette petite enquête « salaire des cadres du growthhacking » lancée sur un le forum américain d’un site spécialisée growthhacking.
Les chiffres n’arrivent que dans les commentaires du bas, mais il est intéressant de noter qu’un recruteur annonce recruter un GH junior à 70 k$ annuels et un sénior (ne sachant pas coder) à 115k$.
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